Le portrait robot génétique arrive en France



Enquête réalisée par Soren Seelow, journaliste pour le quotidien Le Monde


« le portrait robot génétique arrive en France »
« le premier « portrait-robot génétique » réalisé dans le cadre d’une enquête policière : celui du suspect d’une série de viols qui a hanté la ville de Lyon entre octobre 2012 et janvier 2014 » a été réalisé courant 2013 par le Laboratoire d’Hématologie Médico-Légale.

 

Enquête disponible dans son intégralité à l’adresse suivante : www.lemonde.fr

Articles en date du 15/12/2014 : www.lemonde.fr/article1 et www.lemonde.fr/article2


01net Magazine n°808 – Portrait ADN

01net Magazine n°808 du 6 au 19 Novembre 2014 p26-29

« Analyse de fragments d’ADN  : un logiciel révèle le portrait des criminels. Après l’identification de gènes impliqués dans les traits du visage, des chercheurs ont mis au point un programme capable de dessiner en 3D le portrait d’un individu, grâce à son ADN.« 

lien o1net : http://www.01net.com/

Le « VisiGen Consortium » regroupe les laboratoires universitaires de recherche participant notamment à ce projet.

Science & Vie n° 1165 d’Octobre 2014 – « l’ADN connait votre visage »

Science & Vie n° 1165 d’Octobre 2014 page 103

« Le portrait robot : Une trace d’ADN suffit« 
« Forme du visage, des lèvres, du nez … Une infime trace d’ADN permettra demain de reconstituer le faciès d’un individu ! Déjà, des logiciels de profilage génétique sont en préparation » par Emilie RAUSCHER.

Vous trouverez également de nombreuses références sur le sujet sur le site de Science & Vie disponible à cette adresse :
http://www.science-et-vie.com/2014/09/au-sommaire-science-vie-n1165

Arrêt du 25 juin 2014 de la Cour de cassation sur les caractères morphologiques apparents

La cours de cassation dans son arrêt du 25 juin 2014 n° 3280 mentionne que « l’expertise ordonnée par le magistrat instructeur sur le fondement de l’article 81 du code de procédure pénale consistait exclusivement à révéler les caractères morphologiques apparents de l’auteur inconnu d’un crime à partir de l’ADN que celui-ci avait laissé sur les lieux, à seule fin de faciliter son identification, l’arrêt n’encourt pas la censure »

http://www.courdecassation.fr